Détails sur le L'Ecriture ou la vie - Si vous avez décidé de trouver ou lire ce livre, ci-dessous sont des informations sur le détail de L'Ecriture ou la vie pour votre référence : L'Ecriture ou la vie a été écrit par Jorge Semprun qui connu comme un auteur et ont écrit beaucoup de livres intéressants avec une grande narration. L'Ecriture ou la vie a été l'un des livres de populer Cette année. Il contient 395 pages et disponible sur format E-Book, Hardcover. Ce livre a été très surpris en raison de sa note 3.1 et a obtenu environ 755 avis des utilisateurs. Donc, après avoir terminé la lecture de ce livre, je recommande aux lecteurs de ne pas sous-estimer ce grand livre. Vous devez prendre L'Ecriture ou la vie que votre liste de lecture ou vous serez regretter parce que vous ne l'avez pas lu encore dans votre vie. Voici l'identifiant du livre que vous pouvez utiliser pour rechercher ce livre sur le marché ou un autre vendeur de livres, isbn: 2070400557, ean: 9782070400553 ou asin: 2070400557.
L'Ecriture ou la vie par Jorge Semprun ont été vendues pour EUR 9,30 chaque exemplaire. Le livre publié par Gallimard. Il contient 395 pages et classé dans le genre Folio. Ce livre a une bonne réponse du lecteur, il a la cote 3.1 des lecteurs 755. Inscrivez-vous maintenant pour accéder à des milliers de livres disponibles pour téléchargement gratuit. L'inscription était gratuite.
Le Titre Du Livre : L'Ecriture ou la vie
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Description du livre L'Ecriture ou la vie : Décousu et fastidieux. Déçu... - 2 internautes sur 2 ont trouvé ce commentaire utile.Décousu et fastidieux. Déçu...
Par L'Ivre Lecteur
En septembre 1943, lorsqu’il est arrêté par la Gestapo et déporté à Buchenwald, Jorge Semprun est âgé de 20 ans. Affecté à l’Arbeitsstatistik (l’administration du travail), il survivra jusqu’à la libération du camp par le général Patton le 11 avril 1945, mais verra mourir de faim, de maladie, plusieurs de ceux qu’il appelle dans son livre ses « copains ». Des morts qu’il vivra de très près, tenant parfois dans ses bras ses compagnons d’infortune au moment de leur trépas. Des morts indicibles, qui le marqueront à jamais.Contrairement à d’autres survivants des camps, qui ont tenté d’exorciser leur passé en couchant aussi rapidement que possible leur histoire sur papier, il faudra à Jorge Semprun près de 50 ans et de multiples tentatives pour parvenir à rédiger L’Ecriture Ou La Vie.Même s’il est avant tout un récit autobiographique, le livre est émaillé de longues réflexions philosophiques portant sur la quasi impossibilité de raconter l’expérience des camps à ceux qui ne l’ont pas eux-mêmes vécues.Si cette difficulté, ressentie par Semprun, peut se comprendre autant que l’empressement d’autres survivants à raconter leur histoire, une tentative d’explication en aurait néanmoins pu être intéressante. Malheureusement, la trame narrative du récit est floue, imprécise. Les souvenirs du temps passé à Buchenwald sont entrecoupés de passages plus philosophiques, où Semprun essaie d’expliquer que la déportation revient à « vivre sa mort », mais aussi de digressions peu compréhensibles et de fréquentes – et inutiles – répétitions de propos déjà tenus quelques chapitres, quelques pages ou même quelques lignes auparavant.Peut-être cette structure décousue est-elle une conséquence directe de cette difficulté qu’a ressentie Semprun quand il tentait de raconter ce qu’il avait vécu. Car l’homme sait écrire et est incontestablement érudit. En témoignent les références qu’il fait à de nombreux auteurs, principalement des philosophes, souvent peu connus du grand public. Des références qui ne favorisent cependant pas la lisibilité du récit. Et dans lesquelles Semprun semble parfois se complaire, quand il n’est pas à la limite de la suffisance, n’hésitant pas à juger un peu sommairement tel ou tel penseur.Certaines descriptions que fait l’auteur du camp de Buchenwald laissent également perplexe, qui le font ressembler tantôt à l’antichambre de l’enfer, tantôt – en forçant à peine le trait – à un lieu de villégiature presque convivial, où les détenus pouvaient s’organiser librement, monter des pièces de théâtre ou des orchestres…Je m’attendais à trouver dans L’Ecriture Ou La Vie les mémoires d’un rescapé des camps, doublées d’une réflexion sur l’impossibilité de quitter jamais totalement un tel endroit (thème qu’aborde Semprun, mais sans l’approfondir). J’avoue, les quelques cinquante premières pages lues, avoir été déçu. Le récit m’a paru fastidieux, sans fil conducteur véritable. Sans beaucoup de similitudes avec les récits d’autres déportés.Bref, et sans vouloir manquer de respect à un homme qui a côtoyé l’innommable, j’ai été fortement déçu.Découvrez mes autres critiques sur mon blog : L'Ivre Lecteur Jorge SEMPRUN L'écriutre ou la vie Folio 2005
Par L'Ivre Lecteur
En septembre 1943, lorsqu’il est arrêté par la Gestapo et déporté à Buchenwald, Jorge Semprun est âgé de 20 ans. Affecté à l’Arbeitsstatistik (l’administration du travail), il survivra jusqu’à la libération du camp par le général Patton le 11 avril 1945, mais verra mourir de faim, de maladie, plusieurs de ceux qu’il appelle dans son livre ses « copains ». Des morts qu’il vivra de très près, tenant parfois dans ses bras ses compagnons d’infortune au moment de leur trépas. Des morts indicibles, qui le marqueront à jamais.Contrairement à d’autres survivants des camps, qui ont tenté d’exorciser leur passé en couchant aussi rapidement que possible leur histoire sur papier, il faudra à Jorge Semprun près de 50 ans et de multiples tentatives pour parvenir à rédiger L’Ecriture Ou La Vie.Même s’il est avant tout un récit autobiographique, le livre est émaillé de longues réflexions philosophiques portant sur la quasi impossibilité de raconter l’expérience des camps à ceux qui ne l’ont pas eux-mêmes vécues.Si cette difficulté, ressentie par Semprun, peut se comprendre autant que l’empressement d’autres survivants à raconter leur histoire, une tentative d’explication en aurait néanmoins pu être intéressante. Malheureusement, la trame narrative du récit est floue, imprécise. Les souvenirs du temps passé à Buchenwald sont entrecoupés de passages plus philosophiques, où Semprun essaie d’expliquer que la déportation revient à « vivre sa mort », mais aussi de digressions peu compréhensibles et de fréquentes – et inutiles – répétitions de propos déjà tenus quelques chapitres, quelques pages ou même quelques lignes auparavant.Peut-être cette structure décousue est-elle une conséquence directe de cette difficulté qu’a ressentie Semprun quand il tentait de raconter ce qu’il avait vécu. Car l’homme sait écrire et est incontestablement érudit. En témoignent les références qu’il fait à de nombreux auteurs, principalement des philosophes, souvent peu connus du grand public. Des références qui ne favorisent cependant pas la lisibilité du récit. Et dans lesquelles Semprun semble parfois se complaire, quand il n’est pas à la limite de la suffisance, n’hésitant pas à juger un peu sommairement tel ou tel penseur.Certaines descriptions que fait l’auteur du camp de Buchenwald laissent également perplexe, qui le font ressembler tantôt à l’antichambre de l’enfer, tantôt – en forçant à peine le trait – à un lieu de villégiature presque convivial, où les détenus pouvaient s’organiser librement, monter des pièces de théâtre ou des orchestres…Je m’attendais à trouver dans L’Ecriture Ou La Vie les mémoires d’un rescapé des camps, doublées d’une réflexion sur l’impossibilité de quitter jamais totalement un tel endroit (thème qu’aborde Semprun, mais sans l’approfondir). J’avoue, les quelques cinquante premières pages lues, avoir été déçu. Le récit m’a paru fastidieux, sans fil conducteur véritable. Sans beaucoup de similitudes avec les récits d’autres déportés.Bref, et sans vouloir manquer de respect à un homme qui a côtoyé l’innommable, j’ai été fortement déçu.Découvrez mes autres critiques sur mon blog : L'Ivre Lecteur Jorge SEMPRUN L'écriutre ou la vie Folio 2005
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